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 Présentation Kussu Yame Ending

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Kussu Yame

Colonel
Kussu Yame
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MessageSujet: Présentation Kussu Yame Ending   Présentation Kussu Yame Ending Icon_minitimeVen 20 Jan - 22:57


Kussu Yame



Nom : Kussu

Prénom : Yame

Surnom : Ku ~ Kume

Age : 22 ans

Race : Humain

Lieu de Naissance : East Blue

But(s) et/ou Rêve(s) : Être au plus haut grade de la Marine

Camp et Grade : Marine maritime ~ Lieutenant

Equipage/Tribu/Parti :

Armes/Capacités Spéciales : Katana

Dieu/Statut :
"Je certifie avoir lu le règlement, l’accepter et assumer tout acte allant à son encontre..."

DESCRIPTION

Un physique, tout être en est processeur, dans la plus simple des logique. Une enveloppe charnelle, plaisante ou déplaisante, celons les goûts. Un visage, qu'il soit rond, ovale, carré ou autre formes géométriques, reste de ce fait un visage. Le visage de Kussu Yame, est assez fin, pâle il laisse transparaitre la lumière. Faisant ressortir sa chevelure brune, la pâleur de son visage harmonise l'ensemble. Ses lèvres couleur chair, paraissent rouge pourpre sous différents angles. Ses yeux bruns, ce confonde avec sa chevelure raide. Ses cils, plutôt grand, lui fond un regard délicat. Son nez trônant sur son visage et d taille commune. Mais ne vous y méprenez pas, son visage n'est pas la perfection même.
Des expressions douteuses, viennent briser l'image refléter.
Ses mensurations, sont correctes, sa fine taille complète ses hanches marquer. Le volume de sa poitrine se méprend avec sa fine taille, sa poitrine nous semble donc, aux dimensions correctes. Ses jambes sont d'une grosseurs tout à fait normales, quand à ses pieds ils ne sont ni géant, ni trop minuscule.
Son sourire laisse parfois porter à confusion, de nature fausse, vous ne saurez jamais exactement pourquoi celle-ci vous sourit et est-ce vraiment honnête.
Son caractère est tel, qu'elle ne vous dévoilera pas exactement le fond de sa pensée. Que vous soyez amis proches ou bien d'une quelconques parentés, avec elle rien n'y changera. Elle ne fait confiance qu'à un cercle très prisé, de ses connaissances.
N'aimant ce confier qu'à ses compagnons d'enfance, certains la trouve agaçante et arrogante pour cela. Méprisante, ce mot pour la décrire est récurent. Dépourvue de toute sociabilité, elle ne s'accorde guère la sympathie des habitants. Un fort caractère, ce n'est peut être pas la cause de ce soucie. L’envie de s'affirmer et de ne respecter que sa propre volonté et de ce fait piétiner les personnes se trouvant en face d'elle, de les ennuyer avec ses faux serments, les énerver avec ses manies de toujours, dire ce qu'ils veulent entendre.
Parfois maladroite avec certaines personnes à comportement fragile, elle ne pourra s'empêcher d’avoir une dette envers vous. Que celle-ci soit tenue ou non, pour elle c'est le geste qui compte. Sa parole, son honneur, bien sûr qu'elle y tiens et le chérie contre elle chaque jours passant de sa vie.
Malgré ce caractère que tous le monde retiens, elle n'apprécie que très peu ce reflet d'elle même qu'elle renvoie à autrui. Pourtant grâce à celui là elle à pue ce forger une certaine notoriété dans son village et autres, elle en est certes satisfaite d'une part, mais de l'autre elle en souffre un temps soit peu.
Être qualifiée d'une jeune femme méprisant, ses aînés,repoussant l'autorité et agaçante à ses heures perdues et rude à entendre. Empoisonner par ces langues de vipères, cela l'oblige à continuer de plus belle. Elle n'est pas prête de changer ce caractère fondé depuis sa plus tendre enfance. Elle subie donc, les injures et ne respecte en soie que les êtres digne de cela.
Des personnes se laissant submerger par leurs émotions la décrive de rayonnante, souriante et agréable. De toutes les manières cela reste rares dans son village, mais elle peu tout de même être appréciée par certains habitants. Elle aidera tout individu, sans demander un partie trop lourd en échange. Son cœur n'est pas encore assez pure pour ne rien réclamer. Ayant vécue dans un monde ou il faut donner pour pouvoir prendre, il est donc, pour elle tous naturel d'appliquer cette règle.
Dans cette description vous présenterez votre personnage, son physique et son mental. Elle doit au minimum faire 20 lignes mais ne doit pas être de la même taille voir plus grosse que l'Histoire.


HISTOIRE


Faisait-il froid, la température afflué-t-elle sur la vie des habitants, la forêt pleurait elle battue par le vent ? Un horaire inconnue de mes pensées, un temps dont je ne peux me rappelais et une sensation comme invaincu.
Tous ces événements précédents, pendant et après cet acte, je ne serais m'en remémorer. Cette sensation lors de mon extraction, les expressions envahissants le visage des mes parents et des personnes se trouvant à leurs côtés, n'est que néant pour moi. Une frustration de ne savoir tous cela. Je subis les conséquences de la vie, me laissant guider par un destin incertain, bordant mon cœur affaiblit par le temps. Ce jour, si important à mes yeux et si insignifiant face à ceux de l'univers, ravivant mon âme de plus belle, les yeux écarquillaient de ces personnes admirant un être démunie de toutes libertés. Un individu de plus peuplait cette Terre.

Une enfance, tout être humain à vécue ou vivra, cet expérience en toute logique. Que celle si soit ou sera bénéfique pour l'âme s'en emparent, ou bien désastreuse ou sans intérêts, nous sommes obliger de subir cette action de la vie. Comment échapper à ce manuscrit, traçant notre destin à sa guise, méprisant nos pensées et voulant la plupart du temps nous voir avec une expression de souffrance et besoin.

Mon enfance fut résumer, comme étant sans intérêts. Pour ma part je la qualifierais de comme cela, pour les personnes, m'ayant accorder de leurs temps peut être bénéfique penserons-t-ils. Démunie de toutes paroles, je n'aimais prendre part à une élocution. Mes parents ne supportant ce comportement, décrit d'immature, je fus conviés à de nombreuse punitions, pour endurcir mon caractère. Ma mère ne travaillant pas elle consacré non pas son temps, à mon éducation, mais à colporter des sujets inintéressants à ses confrères. Mon père régulièrement absent dû à son restaurent, je ne le voyais que rarement. Pour moi il étais tout naturel que mes parents est cette attitudes avec moi. Tous les enfants devaient probablement être dans mon cas, c'est pour moi la vérité jusqu'à mes 8 ans.

Cela faisait déjà huit ans, que j'encrais ce manuscrit, que la Terre supportais mon poids en elle. Ma timidité, fut remplacer par de l'arrogance, comme nommerais mes parents. Quand ils me posaient une question qu'elle soit rhétorique ou non je leurs répondais par la réponse attendue. Quoi de plus normal que de répondre à une question et de ne pas exprimée le fond de sa pensée. La confiance, ma mère me répétait ce mot à longueur de journée, mais pour moi elle ne cherchait qu'à me duper et m'extraire tous mes précieux sentiments, ressentis et secrets.Elle baissa rapidement les bras et me laissa dans mon monde d’hypocrisie. Je n'étais pas particulièrement appréciée par les enfants siégeant dans ce village, car ils me jugeais comme une sorcière n'ayant pas d'âme.

Je fis la rencontre d'un jeune homme nommé Loupie, à mes dix ans. Il était qualifier de délinquant et de mauvaise fréquentation. Les personnes se ressemblants ne s’attirent pas tels des aimants, et bien pour ma part cela n'étais pas le cas. Ma mère m'avait fortement déconseiller de le côtoyer et comment résister à l'envie de contredire un parent, je n'en fis rien et me lia d’amitié avec ce jeune homme. Nous nous voyons régulièrement et faisant stupidités en tous genres. En passant par des plans complètements saugrenues à irrésistiblement ingénieux, nous faisions la terreur auprès des autres enfants. J'en fus très vite amusée et y pris goûts. Les parents de Loupie n'étaient absolument pas strictes et le laisser aller et venir où il voulait. Cette liberté était comme un rêve pour moi, il me narré la plupart du temps ses veilles bêtises orchestrer par ses anciens compagnons. Il était hilarant, mais il avait le don de me mettre hors de mes gonds et d'une colère noir je le frappais à tous vas.

A l'âge de nos 12 ans respectifs, ils reçue la visite d'un homme plutôt étrange réclamant, une somme d'argent à ses parents. Il fut contraint de déloger du village, une semaine après la venue de celui-ci. En guise d'adieu il m'offrit une lettre. Je n'eus le courage de l'ouvrir, car de ce fait j'accepterais son départ et je pus tolérer sa "disparition". Voyant ma détresse mes parents furent étonnamment plus doux en ma présence. Ils me disaient qu'il ne fallait pas que je m'inquiète et que tout irais bien pour eux, mais je savais au fond de moi que ces paroles n'était que de la pitié. Le seul être en lequel j'avais placée toute ma confiance et toutes mes ambitions, était partie soudainement avec, m'arrachant mes rêves et mes convictions.

Deux ans après sa disparition, Uta devint mon nouvel ami. Il était certes strictement différent de Loupie, mais tout aussi agréable à vivre. Il n'aimait faire souffrir autrui et persécuter d’autres enfants. La gentillesse incarner dans un être si petit et si frêle. Cela en était mignon au départ mais extrêmement laçant à la fin. A chaque fois que je proposais un plan il faisait une tête à faire pâlir n'importe qu’elle mère ou femme, mais moi en guise de réponse je faisait une tête de six pieds de long. Tellement près de ses convictions avec autrui que cela m'agaçais au plus haut point. Il le remarqua et fit quelques effort, car la peur de me perdre le pénétra. Il m'en fit par et je le rassura, lui disant que je ne pourrais jamais le délaissais, même si la pensée m'avais à nombreuses reprises traversée. Rassuré, il reprit son comportement après quatre longs mois d'efforts fournis de sa part.

Nous étions désormais devenue des adolescents. Cette période faisant pâlir tous parents, ne pouvant et ne voulant que son enfant traverse cette phase. Une période fascinant bien grands monde, voulant découvrir le comportement et les causes de celui-ci, quand un individu est dans cette crise. Pour moi mon comportement ne changea absolument pas, à l'agréable surprise de mes parents. Uta quant à lui, changea énormément. Que ce soit physiquement que mentalement. Il devint, comme l'on pourrait dire, sadique. Sadique, dans le sens à faire souffrir tellement de personnes, tellement de, de jeunes demoiselles voulant s'emparer de son cœur. Pathétique tous cela n'en fus que plus pathétique à mes yeux. Il me collait tel un chien à son propriétaire. Il croyait me protéger alors que les rôles s’inversaient face à l'action.

Mon agacement était au plus au point, un jour je lui hurla tellement fort dessus pour lui exprimer mon mécontentement que j'en perdis la voix durant deux jours. Il voulait changer, mais n'avait la volonté, il me racontait son rêve d'entrer dans la Marine et protéger les habitants des pirates pillant les demeures. J'en fus résolue et je lui dis :

_ Si tu arrive à changer, sache que je te suivrais dans ce rêve.

Il me regarda étonner, écarquillant les yeux, bouche béante et se mit à verser des larmes de joie, je le frappa et dis :

_ Arrête de faire cette tête, ça fait pitié à voir.

Il essuya ses yeux, à chaque versement de larmes, le frottement de son vêtement contre celui de sa peau le furent devenir rouge.

Je l'entraîna pendant un mois à devenir fort, un mois durant lesquels je contemplais sa souffrance tout en sirotant un verre. Son physique si frêle, changea minimement, mais le changement était là. Son mental ne changea absolument pas, il restait peureux et ne voulait faire souffrir. J’abandonnais l'idée de le faire devenir un Homme.

Nous avions à présent seize ans, nous étions plus matures et notre liberté s'accroissait de jour en jour. Le rêve d'Uta lui était petit à petit accessible, mais moi je me questionnais encore sur mon avenir. Que faire, je n'en savais absolument pas, alors tel un mouton suivant sa meute, je choisis d'accompagner Uta dans son rêve. Nous décidâmes de nous inscrire dans la Marine. Nous furent affecter à la même section. Uta en était ravie et moi de même. Nous resterions ensemble jusqu'à ce que l'un de nous franchisse le sommet.

Mais le manuscrit ne voulait tracer un chemin sans embuscades, sans malêtre et sans détresse. Un mois de Juillet Uta et moi sommes passer aux grades supérieure, tout va pour le mieux, même si une quelconque fatigue se fait ressentir. Une alarme retentis brusquement dans nos quartiers. Nous sommes tous conviés à prendre place vers le Mât du navire. J’aperçus Uta en stress, et je lui pris la main pour essayer de le rassurer. Nous avions repéré un bateau ennemie et nous devions nous tenir prêts à frapper. Mon cœur vibrait sous ma chair, me faisant quelques peu souffrir. Je serrais de plus en plus fort sa main et lui en fit de même.

Je ne pus me rappeler exactement de la scène tous c'est passer à une vitesse incompréhensible. Les lames s’entrechoquant, les hurlement de détresse, les pleures d'une mort certaine. Je regardais tout autour de moi affolée, je voulais fuir, sauvée ma peau, je ne pensais plus qu'à moi. Uta avais disparue de mes pensées, mon esprit si égoïste, pris le dessus m'empêchant de me concentrer. Puis un cri, une voix si familière, je me retourna en direction de celui-ci et vis Uta transperçait de part en part. Son sang dégoulinant de son corps, gisant sur le sol. Son sang si chaud, servant à alimenter son corps, s'évacuait sans son autorisation, la frustration envahis mon corps. Son visage si doux afficher une expression si déroutante, que j'en fis ressortir mes entrailles. Je tremblais, je m'avachis sur le sol, simulant ma mort. Les yeux vide d'Uta pénétrant ma peau, me faisant cracher ma salive, bouche béante, haletante, les larmes glissantes sur mon visage apeuré par cette scène. L'ombre de son assassin se tenait droit devant lui, ricanant de sa stupidité. J’eus voulus bouger mes membres et le secourir, mais rien n'y faisait je ne pouvais terrifier. Un homme surgis et égorgea l’ennemie, posté derrière Uta. Le sang giclant de son cou, coulant de sa bouche, était presque jouissance pour moi. Je voyais l'homme ayant fait souffrir Uta agoniser au sol. Les blessures, infligées par les ennemie ne me faisais souffrir, cette souffrance était tellement minime, face à celle éprouver en voyant ce massacre. La voix d'Uta dérivant jusqu'à mes oreilles, elles qui devinrent si sensible au moindre bruit, le son du sang coulant sur le sol et la pénétration des lames dans la chaire humaine, tous était amplifié.

Le navire nettoyer de ces corps sans vie, je pus retrouver Uta à l’infirmerie, classé comme blessé grave. A ma grande stupeur, moi le croyant mort j’accourus à son chevet. Inconscient son visage n'avait aucune expression. J'eus à peine poser mon regard sur lui que ma tristesse à son égard ressurgis et je ne pus rester à ses côtés.. J’appris, par la suite qu'il sera dorénavant paralyser à vie, ne pouvant se mouvoir de son dos. Comment réagir face à cette nouvelle, Uta était déjà au courant et me pria de ne pas le regarder, ni de lui parler. Il fut donc, démunie de ses fonctions et retourna de force à notre village. Quant à moi je restais dans la Marine pour exaucer la promesses qu'on s'était donnée. A mes congés, je retournais voir Uta et lui narrais mais exploits ou autres, j'avais énormément progresser dans le domaine du maniement du sabre. Il me félicitait et me réconfortait quand cela n'aller pas. Puis je fus nommée Lieutenant d'une flotte maritime, j'en fus honnorée et annonça la nouvelle à Uta qui en pleura ému.

20 ans, mois de Mars, temps favorable.
Un événement digne de ce nom, j'étais conviée à une exécution. Cela me déplaisais, je ne supportais la vue pathétique d'un homme dans ses derniers instants. Mais je ne pouvais refuser cette offre. Alors c'est incertaine que je me dirigea à l’endroit indiquer. Il n'y avait pas foule, ce n'était qu'une exécution de pirates peu connues, alors les personnes ne s'intéressant à cela ne venaient guère y assister. Je me trouvais tout juste en face de l’échafaudage, une vue imprenable et parfaite. Je ne pouvais laisser échapper ne serait-ce un seul fragment de la scène. Ma gorge étais sèche, mes yeux humides, et mon visage pâle, mon supérieure posa sa main sur mon épaule et m’incita à ne pas me laisser submerger pas mes émotions. Je pris compte de son jugement et me stabilisa. On fit avancer la bande de malfrats, je regarda leurs visages un par un, des visages salies par la crasse, l'emprisonnement ne devait être de tout repos. Des expressions d'homme fière pour la plupart, d’autres infligeant un regard de pitié pour nous appartenant aux gouvernements, et d'autres voulant s'échapper de ce calvaire. Je ne pus terminer cette files d'homme conduis à la mort. Après plusieurs exécutions, un visage retint mon attention. Un visage mettant familier. Je frotta mes yeux pour être certaine de ne pas être victime d'hallucinations et je pus remarquer un de mes compagnons d'enfance, Loupie. Loupie, celui voulant devenir Pirate par tous les moyens, avait donc, réaliser son rêve, mais plus important il va mourir en étant pirate son souhait, sa plus belle mort me disait-il. Je ne pus rester immobile, je cherchais désespérément quelques chose à faire, déviant son regard m'ayant lui aussi remarquer. Mon supérieure s'énerva et commença à m'ordonner de me calmer. Mes émotions prirent le dessus, j'allais assister à la mort d'un de mes compagnons, sans pourvoir réagir. Mes larmes dégoulinèrent sur mon visage, des gémissements sortirent de ma bouche, une envie d’extraire mon déjeuner se fit ressentir. Je crus faire un malaise. Un homme de mon régiment m’empoigna par les hanches pour me tenir stable. Il posa sa main sur mes yeux, comme pour rassurer un oiseau perturbé par l'environnement se trouvant autour de lui. Ma salive sortis de ma bouche, ma respiration devenait saccader, mes organes vibraient sous ma chaire. C'en était insoutenable, je ne pouvais rester là. Un homme s'exclama :

- Un peu te tenue Mademoiselle !

Je dirigea mon regard en sa direction, la direction de l’échafaudage, je vis le visage de Loupie m'adressant un stupide sourire. Un sourire essayant de dissimuler de l'eau gisant de ses orbites, sa bouche tremblante. Il m'avait reconnue, et ses dernière paroles m'étaient destiner, je gémit de plus en plus fort, submerger par le stress. Je voulus tendre la main pour accéder jusqu'à lui, le prendre entre mes bras et lui baiser le visage, heureuse de le retrouver sain et sauf. Hélas, je ne pus, mon acte aurait était interpréter comme celui d'une trahison et une enfreinte à le loi. Alors immobile j’assistais à son exécution.

Je rentrais essoufflée, par cette journée épuisante qui avait conduit à ce désastre. Je vis sur le lit comme à son habitude Uta, allonger, il me porta un regard, puis me fit un délicat sourire. Je m'avança en sa direction, sans aucune expression sur le visage, les yeux vides, les membres mous, la dépression m'envahissait. Je m'assit de tous mon poids sur la chaise, émettant un bruit sourd, il me regarda intriguer par mon attitude et me prit la main. Il me fit de nouveau un sourire, cette fois plus marquer, je le regardais, émue les yeux voulant extraire ce liquide. Je lui dis d'une voix monotone et désarmée :

_ J'ai vue Loupie aujourd'hui.

Il écarquilla les yeux, essayant de ce souvenir de ce prénom, ce prénom que je ne cessait de lui narré étant jeune et se mis à rigoler et s'exclama :

_ Ah bon ! Qu'elle coïncidence, comment aller t-il ?

Je le regarda, lâcha sa main et mis les mienne sur mon visage pour cacher mes larmes, je tremblait à l'idée de lui annoncer la nouvelle, je me sentais horriblement mal, mes membres ne voulaient bouger, puis je balbutia ces mots :

- Il à était exécuté.

Son visage se figea, la bouche béante, les yeux vides, certes ces deux là n'on jamais étaient de grands amis, mais Uta appréciait énormément Loupie dans le passé l'admirant dans le plus grand des secret, il tourna brusquement la tête :

- Comment ose tu déblatérer une telle ânerie ?

Ma colère me submergea, je le pris par le col de sa chemise et je lui cria au visage :

- Et toi comment ose tu ne pas me croire, pense tu que de te dire ça m'amuse, de le voir ''' de le voir s'être.

Je fondis en larmes ne pouvant continuer mon élocution. Son expressions, ses larmes glissants sur son visage, ses yeux emplies de tristesse et sa pitié à mon égard, je ne pouvais supporter cette image dans ma tête. Le regard de Loupie me pénétrant de toute part avant de rendre l'âme, ce sourire nié avant de monter sur l'échafaudage et cette expression de détresse insupportable, s'en était trop, je serrai tellement fort mon poings, agrippant son col que mon sang en ressurgis. Mes dents grinçaient et mon regards était celui d'un être devenue fou. Je détourna le sien, me regardant, effarer par mon comportement, il tremblait, suppliant que cette nouvelle ne soit que mensonge. Je ne pouvais rester dans cette atmosphère, je me leva brusquement, ayant du mal à bouger mes membres, tellement je tremblais, et partie à pas lent. Je ferma violemment la porte se trouvant désormais derrière moi. Je restait figeait, immobile, impossible de prendre mon envole, je prenais racine en cet endroit. Les heures défilant, le son des ses pleures, les juron de ces plaintes, le bruit fracassant des objets contre le sol, je demeurais avide de sens, je ne comprenais ses ressentis, certes sa douleur était là, mais je ne me concentrer que sur moi même. Uta à toujours était impressionné par Loupi et espérait un jour tout comme moi le revoir.

Epuisée par cette vie de désastres, je voulus quitter définitivement la Marine. je fis part de mes ressentis à Uta qui en devint furieux. Il me dissuada d'abandonner et disait de garder la tête haute. Je continuais donc, la routine d'un membre de le Marine, sous la volonté d'Uta.

Cette biographie est à faire le plus soigneusement possible, incluent un minimum de 50 lignes, elle est l'élément le plus important de votre présentation.



Dernière édition par Kussu Yame le Dim 22 Jan - 21:41, édité 1 fois
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Dæmon Flinch

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MessageSujet: Re: Présentation Kussu Yame Ending   Présentation Kussu Yame Ending Icon_minitimeDim 22 Jan - 19:20

Description :
¤ La Qualité :
-> Orthographe, Conjugaison, Grammaire : [3/5] Fautes élémentaires de la langue française.
-> Vocabulaire, Construction Syntaxique : [3/5] Construction des phrases, répétitions...
¤ La Quantité :
-> Nombre de Mots : [2/4] Maximum de lignes fixé à 800.
-> Aération du Texte : [1/2] Un paragraphe toutes les 20 lignes minimum, 50 lignes maximum.
¤ L'Originalité :
-> Les Précisions : [1/2] Donner beaucoup de détails aide le lecteur à se repérer.
-> La Méthode : [1/2] Originalité par le style humoristique par Iss Hilton...
¤ Sous-total : [11/20]
Beaucoup de fautes de Français et c'est bien dommage, j'avoue que cela rebute un peu au premier coup d'oeil... Bonpatron, ou même word (les versions les plus récentes étant plus efficaces évidemment) peuvent te permettre de te corriger efficacement, ce qui aurait pu te faire gagner quelques points. Tes descriptions manquent également de précision parfois, et je t'avouerai que je n'ai pas forcément compris certaines de tes phrases...
Histoire :
¤ La Qualité :
-> Orthographe, Conjugaison, Grammaire : [2/3] Fautes élémentaires de la langue française.
-> Vocabulaire, Construction Syntaxique : [2/3] Construction des phrases, répétitions...
-> Histoire, Parcours et Logique [3/6] Logique de l'histoire pour les personnages, les lieux, les déplacements...
¤ La Quantité :
-> Nombre de Mots [3/5] Maximum de lignes fixé à 1000.
-> Aération du Texte : [3/3] Un paragraphe toutes les 20 lignes minimum, 50 lignes maximum.
¤ L'Originalité :
-> Les Précisions : [1/2] Donner beaucoup de détails aide le lecteur à se repérer.
-> La Méthode : [1/4] Originalité par style humoristique...
-> Le Personnage : [1/2] Originalité du personnage : physique ou caractère.
-> L'Histoire : [2/2] Originalité de la trame.
¤ Sous-total : [18/30]
Malgré le fait que l'orthographe, et la grammaire dans cette partie soient assez déplaisantes à lire, j'avoue que l'originalité de la trame m'a intéressé, ce qui change beaucoup des histoires bateaux (parents morts etc), ce qui te fais dépasser la moyenne... Attention, encore une fois, à ton style d'écriture... Quelques non-sens toutefois (Uta finit par donner une gifle alors qu'il est paralysé, et la colonne vertébrale contrôlant tout le corps, il ne devait pas pouvoir bouger...).
Général :
¤ La Qualité :
-> Orthographe, Conjugaison, Grammaire : [5/8] Fautes élémentaires de la langue française.
-> Vocabulaire, Construction Syntaxique : [4/7] Construction des phrases, répétitions...
-> Histoire, Parcours et Logique : [5/8] Logique de l'histoire pour les personnages, les lieux, les déplacements...
¤ La Quantité :
-> Nombre de Mots : [5/9] Maximum de lignes fixé à 1500.
-> Aération du Texte : [4/6] Un paragraphe toutes les 20 lignes minimum, 50 lignes maximum.
¤ L'Originalité :
-> Les Précisions : [1/3] Donner beaucoup de détails aide le lecteur à se repérer.
-> La Méthode : [1/3] Originalité par style humoristique...
-> Le Personnage : [2/3] Originalité du personnage : physique ou caractère.
-> L'Histoire : [2/3] Originalité de la trame.
Sous-total : [29/50]

Total : [58/5] : [11,6/20] Te voici donc de niveau 23, lieutenant (et pouvant accéder au grade de commandant si tu le souhaites, voir même colonel) avec ton katana... Je t'accorde 2 niveau bonus pour l'originalité principalement (il faudrait que tu fasses attention à ton orthographe), donc tu finis niveau 25. Bon jeu sur One Piece New Genesis.
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Kussu Yame

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MessageSujet: Re: Présentation Kussu Yame Ending   Présentation Kussu Yame Ending Icon_minitimeDim 22 Jan - 21:37

Merci et désolée pour toutes les fautes, je ferais des efforts é__è
Je veux bien accéder au rang de Colonel ^^
En ce qui concerne la frappe d'Uta, je change ça j'avais complètement oublier ce détail.
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Dæmon Flinch

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MessageSujet: Re: Présentation Kussu Yame Ending   Présentation Kussu Yame Ending Icon_minitimeMar 24 Jan - 17:59

Voilà, tu es donc colonel. Je pense que tout est dit, je lock et j'archive, si tu veux reparler d'un point avec moi, ce sera par mp Wink
A bientôt en RP!
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MessageSujet: Re: Présentation Kussu Yame Ending   Présentation Kussu Yame Ending Icon_minitime

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