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 [Présentation]Shiro Kazama[~Fini~]

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Shiro Kazama

Amiral
Shiro Kazama
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MessageSujet: [Présentation]Shiro Kazama[~Fini~]   [Présentation]Shiro Kazama[~Fini~] Icon_minitimeMer 13 Fév - 0:12

Hello visiteur de One Piece Saido qui vient vérifier si je suis un menteur ou non o/ Je suis bien le Shiro de votre monde et de celui-ci et je prouve par la présence de ce message que je suis un beau gosse. J'en fait p'tre trop ? Mad










Shiro Kazama


Nom : Kazama
Prénom : Shiro
Surnom : Le Prince des Mendiants
Age :19 ans
Sexe : Masculin
But(s) et/ou Rêve(s) : Donner la liberté à tout le monde.
Camp et Grade désirés : Marine/Amiral
Armes/Capacités Spéciales : Arme : Sabre classique avec un manche en forme de croissant de lune./FDD: Kishou Kishou no Mi ou Fruit de la météo/Haki : A venir IRP

Lieu de Naissance : Grand Line
Nature : Homme
Dieu/Statut : Libra
Equipage/Tribu/Parti désirés: Futur équipage maritime
Spécificité : Se refuse à porter l'uniforme de la marine et porte à la place un vêtement à capuche.

"Je certifie avoir lu le règlement, l’accepter et assumer tout acte allant à son encontre..."
Signature : Shiro Kazama


Physique :

Je suis un garçon assez grand en taille puisque je côtoie les un mètre quatre-vingt-six, voire plus pour une corpulence moyenne avoisinant les soixante-quinze kilos. J’ai tendance à porter un vêtement complet partant des genoux à la tête de couleur blanc. Dans la capuche de cet accoutrement trône un motif quadrillé blanc et noir qui se poursuis jusque dans le milieu du dos. De larges sangles cassis surmonté d’un anneau de métal carré viennent fermer le vêtement sur mon poitrail, mes abdos et mon entre-jambe, un morceau de d’acier gravé lie le manteau et la capuche. Je porte habituellement un pantalon et un t-shirt moulant noir sous cette tenue. A ma ceinture trône mon sabre en forme plus long que la moyenne, plutôt long et fin celui possède une garde en forme de croissant de lune dorée surmonté d’un espèce de serpent, patron du silence, sur le bas de la lame et sur le pommeau. A mon poignet droit est présent un morceau de tissu que j’ai arraché à ma première instructrice lors de nos jouxte d’entrainement. Sur ma main droite se trouve une cicatrice en forme de croix que j’ai fait colorer de noire, marque des Gardes du Crépuscule.
A mon épaule gauche se trouve le tatouage de la Congrégation Grise, une lune à demi-pleine surmonté d’une épée et d’un pistolet et sur mon ventre son tatoué le nom des personnes que j’ai tué lors de mes combats pour le bien des populations. Quand une personne m’est inconnue je marque son métier ou la date à laquelle je l’ai éliminé.
Je possède des cheveux rouges, semblable aux flammes d’un soleil qui contrastent avec mes deux émeraudes dans le blanc des yeux.

Psychologie :

Au départ de ma vie j’étais plutôt timide et solitaire ce qui m’a fallu un cercle d’amis peu conséquent je me suis révélé à l’âge de six ans en rencontrant mon meilleur ami : Mushu . Ce garçon à changer ma façon de voir le monde et j’ai enfin profité de la vie en apprenant à me faire des compagnons et à les respecter. Né dans les rues j’ai vu nombre d’injustice ce qui m’a poussé à vouloir rétablir l’équilibre entre le peuple mendiants et le reste du monde, de ce fait je ne supporte pas quand les gens ne sont pas égaux je rêve d’un monde où tous les habitant seraient libres de faire la vie qu’ils veulent sans se préoccuper de l’argent ou du besoin. Qu’ils veulent bouger de ville ou de lieu quand bon leur semble ou simplement rester là où ils sont peu m’importe tant qu’ils sont libres et moi aussi.
Je n’aime pas tuer car, c’est priver la liberté d’une personne et c’est pour cela qu’a chaque meurtres je grave le nom de ma victime sur mon corps. Je haïs les meurtriers sanguinaires, tuant de sang-froid pour le plaisir.  J’ai en moi ancré des préceptes emprunté à la déesse de la Justice, Libra, car elle sait qui ment ou non et permet ainsi de discerner le mal.
D’un naturel calme je m’emporte rarement mais, dans certains moments où je ne me contrôle plus je deviens un ouragan, une tempête que rien n’arrête. Ces moments où je me laisse aller à la violence sont ceux qui suivent, la mort, la blessure d’un ami ou alors une injustice de grande envergure. Je suis du genre à faire passer le bonheur des autres avant le mien, je veux protéger les autres, leurs apporter la sécurité et la bonne humeur. Je n’aime pas la Marine car justement elle asservit des peuples et autre civilisations mais, pas comme certains pirates ou organisation comme la Congrégation Grise prônant l’individualisme de quatre personnes.
J’aime les femmes et je cherche mon âme sœur dans ce monde, la personne qui fera chavirer mon cœur, l’emportant par de-là le ciel, dans un espace infini et bienveillant. Cette fille fragile et forte, douce et implacable, sensible et égoïste, jalouse et niaise, amoureuse et espiègle. Je suis un peu romantique et idéaliste sur ce point. Malgré tout j’ai du mal à m’ouvrir aux autres, je reste un peu mystérieux et je déteste être placé en monarque ou en chef de meute.

Goûts :

-Saumon Teriyaki
-Salade fraiche, tomate et fromage
-Le fondant au chocolat
-La musique Pop-Rock
-La guitare
-La méditation
-Le calme et la solitude
-La compagnie d’amis cher.
-Les chiens et les hippocampes





« Il fut un temps où, même les voleurs avaient un Roi.
Il fut une époque où, les vagabonds possédaient un protecteur.
Il fut un temps où, un homme se dressait en travers des lois pour protéger son peuple.
Cet homme fut nommé Prince des Mendiants. »


Mon nom est Shiro et je suis un orphelin. Mon nom est Shiro et je suis un vagabond. Mon nom est Shiro et je suis un monarque. On me nomme le Prince. Pourquoi ? Asseyez-vous et écoutez car cette histoire est celle d’un groupuscule à la fois connu et légendaire. L’histoire d’un enfant né est dans les rues et qui devint le protecteur de tout un peuple. Je me nomme Shiro et voici mon histoire.

Pas de père. Pas de mère. Pas de famille. C’est ça un orphelin. C’est ça être à la rue. Dormir à même le sol. Décréter qu’un trottoir vous appartient. C’est ça la liberté. C’est pour ça que je me bats. Pour ceux qui n’ont ni mère ni père, ni famille ni foyer, c’est pour eux que je suis devenu le Prince des Mendiants, c’est pour eux que je suis devenu le rempart d’une peuplade opprimée.
Je suis né il y a maintenant dix-neuf années et quand je repense à mon enfance dans les rues de la capitale de l’île d’Hannabal un peu de nostalgie pointe. Cette ville construite entre pierres et végétations reflètent la misère du monde. Peu de gens arrivent à avoir assez d’argent pour s’établir à longs termes et par conséquent abandonnent leurs enfants dans les rues. Je suppose que mes parents firent là même chose avec moi, puisque je suis né dans ce qui ressemble à un orphelinat depuis que je suis assez vieux pour me souvenir de quelques scènes. L’orphelinat était tenu par un homme d’une quarantaine d’années qui s’appelait Moko et qui était au sein de la Congrégation Grise un espèce de formateur car, en effet il apprenait aux enfants dès leurs plus jeunes âges à dérober, délester et voler les gens. Cet orphelinat était plus un centre de formation pour jeune voleurs qu’un réel lieu où les enfants sans famille grandissaient. Néanmoins, c’est ici que j’ai vécu et que j’ai appris à manier l’art du délestage.
La première fois que je me suis rendu dans ce havre de paix, je marchais à peine et je ne prononçais aucuns mots. J’étais déjà bien solitaire et discret pour mon âge, si bien que Moko se demanda si j’étais handicapé. Les premiers mois de ma vie à l’orphelinat furent simple : Manger, boire, pisser, dormir. C’était le B.A.BA pour un enfant de quelques mois, puis je me m’y à grandir et l’âge de six ans mon instruction commença, aussi bien militaire qu’éducative.  Chaque enfants commença alors un carnet de voyage pour que la guilde garde une trace de ses apprentis et pour avoir de quoi faire pression au cas où un membre les trahiraient. Ce sont ces carnets que je vais vous présenter.

4/03/1843.

Le temps est maussade et la pluie est battante. Je m’enfournais profondément dans ma capuche  blanche pour ne pas sentir le regard des autres enfants sur moi, je ne supporte pas le poids du questionnement, ce sentiment pesant quand la populace vous regarde comme une proie sur laquelle ils attendent de fondre.
Nous sommes une dizaine, que je connais pour la plupart et à qui je n’ai jamais adressé la parole, tous apilé à l’entrée de l’orphelinat, le frère Moko nous compte et nous appelle un à un pour juger nos carrures. Quand ce fut mon tour, je me suis approché et il m’observa longuement. Je levais doucement ma tête et je me mis à l’observer et je m’aperçus qu’il était accompagné par deux autres personnes, une jeune femme et un jeune homme qui se ressemblait énormément. La fille possédait un sabre à son côté et était grande avec une chevelure rouge feu relâché aux vents. Son visage était de taille raisonnable et un cache œil ornait un de ses yeux, l’unique œil visible était vert et profondément hypnotisant. Mais ce ne fut pas son œil qui attira mon attention mais l’arme. Mon cœur accéléra et main se leva d’elle-même pour aller chercher le sabre. Celui était assez fin et il avait une garde en forme de croissant de lune. Je reçus un coup sur la main, main qui se rétracta rapidement. C’était l’homme. Blond et grand comme la jeune femme, lui avait deux yeux verts légèrement plus clair et avaient des armes à feux à sa ceinture et dans son dos. Je me fis gronder par le blondinet et la jeune femme pris ma défense et décida que je partirais avec elle pour l’entrainement. A ce moment-là je ne savais pas ce que cela voulait dire.

19/08/45

Aujourd’hui j’ai huit ans et je continue l’entrainement avec Abby. Abby c’est la jeune femme dont je suis devenu l’élève. Le jour où nous avons été dispatchés dans deux lieux d’apprentissage différents, ceux partie avec le garçon apprenaient la science des armes et le vol tandis que nous, nous apprenions le savoir des lames ainsi que la protection des secrets de la Congrégation Grise et de ses membres. Je me suis révélé être un fin épéiste pour un gosse de huit ans m’avait dit Abby et j’avais rougi à l’intérieur de ma capuche. Je m’étais fait un ami du nom de Mushu. Il était mon opposé, gai et souriant, garçonnet aux cheveux noirs et aux yeux noisette il était très énergique et nous sommes devenus des rivaux. A ce moment-là j’ai commencé à aller vers les autres et à me faire des amis et des frères d’armes.
Le temps passait à une vitesse folle lorsque j’agitais mon shinai de bois et je restais même encore pour inventer des mouvements, développer mes arabesques et affranchir ma peur des autres. Le soir je m’allongeais entre les sabres de bois et je réfléchissais à la manière d’accélérer mon tempo et à la façon dont je pourrais  mettre ma force aux services de la communauté de la rue. C’est d’ailleurs Mushu qui me proposa de former une alliance avec lui pour défendre les sans-abris du pouvoir malveillant de la marine et des nobles. Sur ce serment nous avons mêlé nos sangs et nous taillant une croix sur la main droite. Cette croix allait devenir plus qu’un simple symbole.

28/01/47

J’ai dix ans. Nous avons tous dix ans. L’âge de la liberté au sein de la Congrégation Grise, aujourd’hui c’était l’Exode. Nous étions relâchés dans la nature et nous devions devenir des adultes par nous-mêmes pour être de vrais vagabonds. La guilde était autant une organisation qu’une philosophie de vivre et avant notre départ on nous expliqua comment nous servirions la Congrégation. Une à deux fois par an, les enfants de la guilde devaient effectuer une mission pour rendre le service et la nourriture données depuis l’enfance. Ces missions permettaient aussi de grimper des possibles échelons au sein de la Congrégation et d’obtenir des postes plus importants comme celui de formateur...Chaque missions se réalisaient en équipes de deux, avec un  expert de la lame nommé la Garde de la guilde et un maître des armes et du délestage appelé Exécutant. Le partenaire attribué à la première quête était éternel jusqu’à ce que la mort les sépare. C’est la règle numéro un des missions : Le partenaire et la Congrégation sont vagabonds, l’amitié et la loyauté elles, sont sédentaires et absolues.
Je partis avec Mushu et deux autres enfants dans les rues, habillés comme des souillons nous avons découvert la totale liberté des sans-abris. Vivre a même le trottoir, changé de rues et de décors à volonté nous étions des nomades et des aventuriers. La nourriture n’était pas un problème grâce au chapardage et bases obtenues lors des entraînements. La vie était belle.
Je n’avais pas d’amis jusque-là et c’est ce que m’apporta la Congrégation. Une famille.

8/07/47

Aujourd’hui un Corbeau, un messager de la Congrégation Grise, est venu me voir pour me donner ma première mission de « dédommagement ». Le commissionnaire était un homme d’une vingtaine d’années aux cheveux et aux yeux d’un noir mat, au visage triangulaire avec un tatouage d’oiseau au-dessus de la joue droite et légèrement sur la tempe. L’homme me dit que j’avais rendez-vous avec mon coéquipier devant le grand phare à la tombée de la nuit. La pression monta en moi. Le temps passa rapidement et la journée aussi. J’avais croisé Mushu dans les rues et je lui avais dit que ma première mission allait débuter, celui-ci m’avait attrapé la main et avait décrété que je n’avais pas le droit de prendre de l’avance sur lui. Je lui avais souri et j’avais pris la direction du phare.
Sur place un jeune homme se tenait là, droit comme un poteau, armes à feu à la ceinture, un long manteau en cuir marron et le torse à l’air. Il avait un cache œil et de la barbe dépassait de son menton. Ses cheveux avaient des reflets bleutés contrastant avec l’onyx de ses yeux. Un pantalon bleu clair en toile il souriait bêtement. En m’approchant nous avons commencé à faire connaissance et il s’appelait : Collonelo  J. Sarday et que j’étais son troisième compagnon depuis ses débuts de mission, car il avait en effet dix-neuf ans. Il alla dans la bâtisse et en ressortit avec un sabre réel et il me l’avait tendu. En le saisissant toute l’appréhension que j’avais ressentie lorsqu’il m’avait dit que j’étais le troisième camarade s’envola. Le sabre était le même que celui d’Abby, une lame longue et effilée avec un croissant de lune. Lui et moi partîmes pour notre première fois en duo.

24/11/51

Quatorze ans. L’âge de rébellion. J’avais bien changé au contact de Sarday, j’étais devenu un véritable épéiste chevronné et Mushu et moi étions devenus de petits caïds défendant le peuple des mendiants dans la cité. Nous étions les Gardes du Crépuscule, nommé ainsi par les vagabonds à cause de nos marques sur nos mains : la croix. Nous faisions notamment la chasse aux Marines corrompues et la Garde augmenta en nombre. Nous étions maintenant une demi-douzaine lorsque la Congrégation entendit parler de nos activités et nous convoqua dans le bureau des quatre immortels pour nous sermonner et nous ordonner d’arrêter. J’avais été le premier à m’offusquer de cette demande et de cet ordre, car l’homme qui m’avait poussé à réaliser ce vœu était Sarday. Il avait dit que n’importe quel homme naissait libre de penser de qu’il voulait et de faire ce qu’il jugeait juste. J’avais craché mon poison aux quatre membres de la guilde et j’avais été banni. A quatorze ans je me retrouvais seul dans les rues. Encore. Mushu ne devait plus m’approcher et les autres aussi.  Mon cher journal, le monde est injuste. Aujourd’hui est la dernière note que je t’écris puisque je ne fais plus partie de la Congrégation Grise. Adieu.


Maintenant que les notes sont terminées, je vais vous raconter la suite de ce qui s’est passé :

J’ai continué à avancer dans les rues, seul dans mon vêtement à capuche. Je portais dorénavant un manteau de voyage marron, lourd et discret, je pouvais cacher mon sabre dessous. J’étais un vagabond et donc je traversais toute l’île d’Hannabal continuant d’exercer ce pourquoi j’étais devenu un proscrit. La seule personne que je revoyais était Sarday qui se fichait des ordres de la Congrégation. Il me demandait comment progressait mon aventure et je lui répondais toujours la même chose : « Je suis né pour protéger donc je protège ».
Lors de mes voyages j’avais sauvé la vie de nombreux mendiants et la haine dans mon cœur j’avais pris des gens sous mon aile, enfin ils s’étaient joints à moi de leurs propres chefs. Je leur apprenais l’art du sabre et du combat à mains nues pour qu’ils puissent à leurs tours défendre les leurs. En deux ans la Garde du Crépuscule était devenu une organisation de douze guerriers et d’un meneur. Tous porté une croix noire sur la main, une cicatrice colorée. Un nom commença alors à tourner dans les petits villages d’Hannabal : On disait que le Roi des mendiants était ressuscité, qu’enfin la protection de celui-ci allait garantir une génération de paix à tous les vagabonds. Ce roi habillé comme un souillon passait inaperçu jusqu’à ce qu’une lame en forme de croissant de lune luise dans la nuit pour trancher les ennemis des mendiants. Une chevelure rouge comme le soleil et deux émeraudes dans les yeux étaient ses déterminants. Deux trésors permettant aux mendiants d’identifier leur monarque.
Je savais qu’ils parlaient de moi et à chaque fois que je passais dans les villages en compagnie des Gardes je les suppliais de ne pas s’incliner devant moi et les douze Gardes. Je ne me voyais que comme leur rempart et leur bouclier. Néanmoins je ne pus empêcher le surnom d’arriver au-dessus de ma tête et j’étais donc devenu ce monarque : Le Prince des Mendiants. Celui qui donne de l’or à tous, celui qui protège et conjure les ennemis du peuple des vagabonds. C’est à ce moment là qu’un Corbeau vint nous quérir pour  que l’on se présente devant les quatre immortels. L’ambiance promettait d’être impressionnante. C’est là que j’appris la pire nouvelle de vie. Mais je garde ça pour plus tard.


Avant d’aller retrouver les maîtres de la Congrégation, les Gardes et moi avons pris un verre dans un bar pouilleux tenu par un ami des guerriers du Crépuscule. Le vieil homme d’une cinquantaine d’années était chauve, vilaine cicatrice d’une calvitie. Plutôt rondouillard on devinait assez bien que ce fut un homme bien bâtie dans le passé, peut-être même un ancien combattant. Nous étions là pour voir mon contact : Sarday. Il était un peu comme le quatorzième membre de notre groupe et il nous donnait de précieuses informations depuis six mois sur les agissements de l’organisation des mendiants. Je savais qu’ils avaient des ennuis avec la Marine mais, je ne m’intéressais pas plus que ça à la façon dont ils géraient la situation et je ne comptais pas m’en mêler. Chacun ses problèmes. Les Gardes du Crépuscule ne servent que les mendiants et les vagabonds, personnes d’autres. Néanmoins nous avions décidé de nous présenter devant les Immortels. Sarday pensait que la convocation du conseil était liée à la guerre avec le GM.
Le lendemain nous nous y rendîmes et les douze guerriers m’accompagnant, formant presque ma garde personnelle, furent surpris du degré d’organisation de la Congrégation Grise car, simples vagabonds de petits villages, il n’avait jamais entendu parler de cette organisation siégeant dans la capitale de l’île d’Hannabal.  Quand nous entrâmes dans la pièce dédiée aux quatre Immortels, ceux-ci étaient de noir, le visage grave étirant leurs rides plus qu’elles ne l’étaient déjà. Les deux femmes et les deux hommes constituant la tête de guilde me regardèrent et me félicitèrent pour la renommée que j’avais acquise car, même ici mon nom de Prince des Mendiants faisait trembler la Marine. Pour faire simple, ils voulaient que je réintègre la Congrégation en revendiquant mon titre de Monarque et en dirigeant le corps armé des voleurs. Ils voulaient se servir de ce que j’avais créé du haut de mes seize ans pour se protéger. A la fin de la discussion ma réponse fut  simple : Non.
J’étais un proscrit, un banni alors pourquoi de je devais aider des gens qui ne penser qu’à eux même ? Alors que je repartais vers la sortie l’homme de droite pris la parole et me révéla ce qui me fit changer d’avis : Mushu et les autres amis que j’avais connu étaient morts. Apparemment il avait été tué à cause de la marque sur sa main, la marque des Gardes du Crépuscules. A ce moment-là mon corps réagit tout seul et je sortis ma lame de son fourreau et je l’abattis sur le banc de pierre trônant devant les Immortels. Des larmes coulèrent de mes joues et un cri de rage exulta de ma gorge, faisant trembler les fondations du repère. Puis après trois minutes de pur silence,  je me retournais avec lenteur, étirant le temps même. Durant mon mouvement semi-circulaire ma rage s’accumula et ma présence se fit plus imposante si bien que mes Gardes firent un pas en arrière comme touché par un coup invisible. Je regardais fixement les quatre vieux et je leur dit : Que la guerre commence. A ces mots la femme de gauche recula de son petit trône et sortit un coffret de sous le banc de pierre. En me regardant elle me dit tout en ouvrant : « Un Prince a besoin de pouvoir ». A l’intérieur se trouvait un fruit étrange avec des motifs tout aussi surprenants, un mets que je n’avais jamais vu auparavant.
La deuxième femme m’expliqua que c’était un fruit du démon, un produit maudissant celui qui le mange mais, lui octroyant des pouvoirs très puissants. Si j’étais prêt à rejoindre leur cause je devais digérer ce fruit et être à jamais rejeté de la mer. Je ne réfléchis pas longtemps, des images de mon enfance me revinrent où Mushu et moi rigolions béatement. En croquant dans la nourriture démoniaque le goût me surpri par son acidité et sa saveur âcre. Quand je l’eux dévoré entièrement je me tournais vers les Immortels et les fixant je sortis dehors. Ceux-ci me suivirent et une fois dehors mes mains parlèrent d’elles-mêmes et une violente pluie vint frapper l’île d’Hannabal. Nous comprîmes alors que j’avais mangé le Kishou Kishou no Mi.

La guerre dura deux ans, deux années où les Gardes du Crépuscule prospèrent jusqu’à atteindre plus de trois-cents membres. Dirigés par moi et les douze Apôtres Mendiants l’armée de la Congrégation livra nombre de bataille contre la Marine faisant beaucoup de victime dans les deux camps. A chacune de mes apparitions, l’île d’Hannabal tremblait et les vents, les pluies et les interminables orages faisaient leurs entrées attaquant les hommes de la Marines et protégeant tout un peuple de mendiants dans les rues sales et malfamées. Le Prince des Mendiants jouait le rôle que les Immortels lui avaient donné, dansant dans les ouragans, sur les courants et criant la peine de son cœur.
Au bout de ces deux années aucune des deux organisations n’avaient pris le dessus et une trêve devenait nécessaire pour  garantir une stabilité à la capitale de l’île. Les décidants de la guilde décidèrent d’organiser une rencontre avec les gradés ennemis. L’accord de paix fut discuté pendant trois jours et trois nuits et fut très disputé. Pour la première fois depuis des siècles l’assemblée qu’était les Immortels était séparé en deux, les uns acceptant le tribut qu’était l’accord et les autres le refusant, disant que c’était perdre leurs meilleurs guerriers et le plus fort de leurs symboles. Selon les lois dans ce cas de figure si un Prince était présent alors c’est lui qui trancherait. J’étais ce Roi et je choisis d’accepter l’accord. Seulement cet édit stipulé que le Princes des Mendiants et ses douze Apôtres devaient rejoindre le corps de la Marine et protéger le GM et les civils. Voilà comment je suis rentrée dans la Marine à l’aube de mes dix-neuf ans. Mais au lieu d’y avoir treize  nouveaux marines, il y en eu quatorze : Sarday vint avec moi. Il avait vingt-huit ans maintenant et c’était un farouche combattant autant qu’un ami. Je devais devenir un membre éminent de la Marine pour que mon peuple bénéficie d’une protection réelle et sans limite de temps véritable.

C’était mon histoire, celle du Prince des Mendiants, enfant des rues, héros d’un peuple et symbole de paix entre deux organisations. Vous connaissez la légende du Roi mais, vous ne connaissez pas la suite, vous ne connaissez pas la malédiction qui trône au-dessus de celui qui porte le nom de monarque des vagabonds : Il mourra seul.
Mon fardeau et ma responsabilité.

Mon nom est Shiro et je suis un orphelin. Mon nom est Shiro et je suis un vagabond. Mon nom est Shiro et je suis un monarque. On me nomme le Prince. Pourquoi ? Vous le savez mais, vous voulez entendre mon histoire encore une fois ? Mon histoire débute dans les rues et se finit à Marijoa. Je me nomme Shiro et je suis un Marine.




Dernière édition par Shiro Kazama le Dim 16 Mar - 16:55, édité 1 fois
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Elya Paradise

Elya Paradise
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MessageSujet: Re: [Présentation]Shiro Kazama[~Fini~]   [Présentation]Shiro Kazama[~Fini~] Icon_minitimeDim 17 Fév - 0:44

Description :
¤ La Qualité :
[4/5] -> Orthographe, Conjugaison, Grammaire : Fautes élémentaires de la langue française.
[4/5] -> Vocabulaire, Construction Syntaxique : Construction des phrases, répétitions...
¤ La Quantité :
[2/4] -> Nombre de Mots : Maximum de lignes fixé à 800.
[2/2] -> Aération du Texte : Un paragraphe toutes les 20 lignes minimum, 50 lignes maximum.
¤ L'Originalité :
[3/4] -> Les Précisions : Donner beaucoup de détails aide le lecteur à se repérer.
¤ Sous-total : [15/20]

Une description originale, bien que courte. Les fautes ne sautent pas aux yeux, c’est bien écrit, et même si c’est léger au niveau de la quantité, au moins ça n’en devient pas lourd… Quelques répétitions qui toutefois n’appauvrissent pas vraiment la lecture… Très bonne description au final, on aura peut-être juste aimé qu’elle s’épaississe un peu.

Histoire :
¤ La Qualité :
[2/3] -> Orthographe, Conjugaison, Grammaire : Fautes élémentaires de la langue française.
[2/3] -> Vocabulaire, Construction Syntaxique : Construction des phrases, répétitions...
[5/6] -> Histoire, Parcours et Logique Logique de l'histoire pour les personnages, les lieux, les déplacements...
¤ La Quantité :
[5/5] -> Nombre de Mots Maximum de lignes fixé à 1000.
[2/3] -> Aération du Texte : Un paragraphe toutes les 20 lignes minimum, 50 lignes maximum.
¤ L'Originalité :
[1/2] -> Les Précisions : Donner beaucoup de détails aide le lecteur à se repérer.
[2/2] -> Le Personnage : Originalité du personnage : physique ou caractère.
[5/6] -> L'Histoire : Originalité de la trame.
¤ Sous-total : [24/30]

Histoire très intéressante, et bien ficelée, je me suis régalé en la lisant, et il faut bien avouer qu’il n’y a aucun temps mort, voilà comment s’approprier son correcteur ! Du reste, c’est original, il y a quelques fautes ici et là qui t’ont un peu pénalisé, mais c’est minime, il faut bien l’avouer. J’en veux d’autre des comme ça !

Général :
¤ La Qualité :
[6/8] -> Orthographe, Conjugaison, Grammaire : Fautes élémentaires de la langue française.
[6/7] -> Vocabulaire, Construction Syntaxique : Construction des phrases, répétitions...
[7/8] -> Histoire, Parcours et Logique : Logique de l'histoire pour les personnages, les lieux, les déplacements...
¤ La Quantité :
[7/9] -> Nombre de Mots : Maximum de lignes fixé à 1500.
[4/6] -> Aération du Texte : Un paragraphe toutes les 20 lignes minimum, 50 lignes maximum.
¤ L'Originalité :
[2/3] -> Les Précisions : Donner beaucoup de détails aide le lecteur à se repérer.
[4/4] -> Le Personnage : Originalité du personnage : physique ou caractère.
[4/5] -> L'Histoire : Originalité de la trame.
Sous-total : [40/50]

Total : [79/5] : [16/20] :
Bonus : [3/5]

Je te félicite, te voici donc niveau 35 sur notre forum ! Pour ton fruit, il n’y a aucun problème… Quant à la fiche en général, elle est excellente, mais il est dommage de perdre des points sur tes descriptions, qui auraient pu t’amener plus haut ! En bref, une fiche de très bonne qualité, et qui change un peu des autres, très bon en somme.
Bon jeu sur One Piece New Genesis !
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